Rachat du Washington Post par Amazon. La marque est morte. Vive l’e-brand!

Dernier avatar du changement de monde qui passe de la “vraie vie” à la vie digitale, ce rachat d’un des monstres de la presse par “la culture en ligne” montre que l’arrivée du web va bien au delà de l’arrivée des NTIC.

Il s’agit bien d’un passage de relai. D’une rive du monde à l’autre. Vérité en de ça, erreur au delà! D’un monde ancien à un monde nouveau.

Les gens, c’est à dire vous et moi pensons, vivons numériques. Pour les marques cela annonce un clivage encore plus fort entre les “pure players” qui ont la liberté de se battre et les autres, embourbés, malgré les efforts dans des règles du passé.

Il va falloir ré-écrire le storytelling à partir de cette donnée des nouveaux “premiers matins du monde”

Commençons dès à présent.

 

L’argumentaire presse du roman Bovary21. très bientôt en librairie.

Sortie en librairie le 29 août. En commande sur les sites Amazon, FNAC, Decitre…

Le roman:

Qui serait Mlle Bovary aujourd’hui ? Bovary21 est le pseudonyme d’une jeune femme de 27 ans, la septième en ligne directe d’Emma Bovary, morte au même âge. Blogueuse reconnue, elle s’abîme dans le surendettement et raconte sur sa page la déchéance qui risque de la conduire au suicide. On est au tout début du xxie siècle. Bovary21 fait du marketing pour une grande marque de soda.

Un certain Charles est son boss, Rodolphe un banquier d’affaires qui va valoriser son blog, et Léonie, une féministe qui l’entraîne à New York. Bovary21 poste ses dernières confessions intimes. Ses 78 000 « amis » peuvent-ils la sauver ? La jeune femme est-elle condamnée au même destin que sa lointaine aïeule ? Une critique cinglante du marketing et une peinture de mœurs acide au pays enchanté des followers et autres réseaux sociaux.

L’auteur.

Georges Lewi est « mythologue ». Il décrypte la société et les entreprises au travers des mythes, « ces histoires que les gens croient vraies ». Il est l’auteur d’une douzaine d’ouvrages et d’essais. Son dernier livre Les Nouveaux Bovary (Pearson, 2012) traite ainsi de « la génération Facebook et de l’illusion de vivre autrement ». Avec Bovary21, il signe son premier roman.