Ainsi commence cette longue analyse à la fois de la génération et des “Nouveaux Bovary” (Pearson 2012):
Une génération d’abord féminine.
Les 15-25 ans arrivent, le réseau au milliard d’amis en bandoulière, ils comptent bien s’en servir pour faire bouger les choses, vivre autrement, et peut-être même inventer une nouvelle vie. Ils l’ont prouvé au Maghreb, à Madrid, Wall-Street et ailleurs : les générations précédentes (baby boomers, X et Y) leur ont légué “tout est effectivement foutu“. Ils s’en sortiront grâce à leur mode de fonctionnement en réseaux, en nouvelles solidarités qui créent de nouvelles formes de militance. Ils réclament le droit à l’essai, le droit à l’erreur et placent la sérendipité (le hasard heureux) au rang de valeur. La transparence, la proximité et la bonne foi redeviennent des constantes de cette génération qui croit à ce qu’elle voit : le buzz non-stop sur le réseau est une arme !
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